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Depuis 2008, la technologie financière et l’innovation des marchés ont favorisé une nouvelle classe d’actifs numériques et introduit de nouvelles formes d’investissement, de négociation et de paiement. Ces nouveaux actifs numériques ont été rendus possibles grâce aux progrès de la cryptographie et de la technologie du registre distribué (DLT). Les actifs numériques, tels que les crypto-monnaies, les stablecoins (un sous-ensemble de crypto-monnaies rattaché à un actif ) et les devises numériques de la banque centrale sont toutes des représentations numériques de la valeur.
La valeur marchande de l’écosystème des actifs numériques a considérablement augmenté, passant d’environ 500 milliards de dollars en 2020 à près de 3 000 milliards de dollars en novembre 2021.
Compte tenu de la croissance et de l’évolution du secteur des actifs numériques, plusieurs questions se sont posées quant à la manière dont les régulateurs peuvent assurer la protection des investisseurs, assurer la protection des consommateurs et maintenir l’intégrité du marché. La vidéo (4h30) ci-dessous montre les débats avec une série de questions de la part des autorités US. Les réponses des acteurs montrent toute l’importance de la technologie et de son fonctionnement, ce qui permet de mieux comprendre les enjeux !
Vous avez Jeremy Allaire, Co-Founder, Chairman and CEO, Circle, Alesia Jeanne Haas, CEO, CFO Coinbase, Samuel Bankman-Fried, Founder and CEO, FTX … – Coinbase entre autre qui s’exprime. Coinbase, c’est l’une des plus grandes places de marché des crypto-monnaies par capitalisation boursière, elle est devenue une société cotée en bourse le 14 avril 2021. Coinbase est également affiliée à USD Coin, le deuxième plus grand stablecoin, émis par Circle. Parmi les autres grands échanges de crypto-monnaies avec des millions d’utilisateurs, citons Binance, FTX et Kraken.
Elle a été créée en 2018 à Washington. Le nombre de membres est passé de 28 entreprises à 65 depuis le 1er janvier. Pendant ce temps, le budget 2020 qui était d’un peu moins de 2 millions de dollars est passé à près de 8 millions de dollars. Parmi les membres les plus récents figurent Solana Labs, Republic, Dapper Labs, Tacen et Messari.
Lorsque vous achetez un NFT à son créateur, doit-il avoir des limitations ? Quels sont les droits et privilèges de cette valeur ? Le marché récompensera-t-il un ensemble de droits plutôt qu’un autre ?
La différence de prix entre un CryptoPunks et Bored Apes, c’est le ratio singe / punk qui est à son plus haut niveau jamais atteint 0,72. Il y a un tollé croissant dans la communauté CryptoPunk concernant le niveau de centralisation du projet. Le plus gros problème : LarvaLabs n’accorde pas de droits commerciaux aux propriétaires de CryptoPunks. Cela signifie que le propriétaire d’un CryptoPunk ne peut pas utiliser son NFT pour produire des produits commerciaux. CryptoPunks ne peut pas du tout être utilisé pour de nombreuses activités créatives. Ce qui aggrave la situation aux yeux du marché, c’est que c’est exactement le contraire chez Bored Apes, qui se voit accorder tous les droits commerciaux sur le singe qu’il possède.
Le marché des CryptoPunks est passé de leur plus haut historique de 140 ETH à leur plus bas de 66 ETH. Dans le même temps, Bored Apes a connu une augmentation constante de plus de 20 ETH au cours du dernier mois.
https://www.adidas.fr/metaverse
https://twitter.com/adidasoriginals/status/1466443459951271939
Un CryptoPhunk est simplement un CryptoPunk inversé, tout le reste est exactement le même. Les CryptoPhunks ont été créés pour protester directement contre les CryptoPunks et les droits de licence dont ils disposent. CryptoPhunks était essentiellement un projet open source, avec des propriétaires capables de faire tout ce qu’ils veulent avec eux. La signification de Vincent Van Dough en changeant sa photo de profil en CryptoPhunk est qu’il s’agit d’une protestation flagrante contre LarvaLabs. VVD compte plus de 100 000 abonnés sur Twitter et est l’une des voix les plus respectées de l’espace NFT.
C’est un bruit qui court, qu’au lieu de continuer à créer une entreprise à la manière du Web3, OpenSea (qui facilite 90 % de tout le volume du marché secondaire des NFT) poursuivrait une IPO. Cela a fait des vagues dans la communauté NFT alors que les spéculations se multipliaient quant à savoir si OpenSea allait ou non passer à une plate-forme entièrement décentralisée en donnant des tokens de gouvernance de la plate-forme à ses utilisateurs les plus actifs. Une autre preuve de leurs intentions d’introduction en bourse se trouve sous la forme de leur dernière embauche, Brian Roberts, qui rejoindra en tant que directeur financier. Il a récemment participé à l’entrée en bourse de Lyft en tant que directeur financier.
La grande majorité des utilisateurs d’OpenSea exécutent des transactions inférieures à 10 000 $.
https://twitter.com/BKRoberts/status/1468399263336083458?s=20
À suivre…
Une recherche rapide sur Internet pour la définition d’une reproduction en édition limitée d’une œuvre d’art renvoie un certain nombre de déclarations contradictoires d’institutions et d’artistes réputés. Certains adoptent une approche similaire à la publication d’un livre. Une Première Édition sera produite en un nombre donné, à un moment donné, dans un format donné, en utilisant des matériaux similaires. Son existence n’empêche nullement la publication ultérieure d’une deuxième ou d’une troisième édition, chacune ayant ses propres caractéristiques. Une couverture rigide de première édition magnifiquement produite ne se confond en aucune façon avec un livre de poche grand public, bien que le contenu de chacun soit le même. D’autres sont d’avis strict que le contenu donné, une fois proposé en édition limitée, ne devrait plus jamais être proposé sous quelque forme que ce soit.
Il semble y avoir un consensus populaire sur le fait qu’une fois créé, le contenu associé à une édition NFT ne peut plus, en bonne forme, être frappé à nouveau nulle part dans l’ensemble de l’univers de la blockchain. Pourtant, il reste tout à faire !
La joueuse d’échecs Judit Polgár, n°1 au monde, a battu Garry Kasparov en septembre 2002. Le NFT, publié par Judit Polgár en collaboration avec BarabásiLab, commémore ce moment unique dans l’histoire. L’œuvre rejoue le jeu historique, avec les pièces blanches de Polgár et les pièces noires de Kasparov se déplaçant sur l’échiquier. Prix de départ, 2 ETH.
Bitcoin est en passe de devenir un actif mondialement accepté et, par conséquent, l’industrie du mining est florissante.
Ils sont l’un des plus grands, sinon le plus grand, fournisseurs de matériel d’extraction de bitcoins et de services d’hébergement au monde. Ils ont 29 installations à travers le monde, dont 25 en Amérique du Nord. L’objectif de Compass Mining est de fournir à ceux qui hésitent à entrer dans l’espace crypto, tant au niveau institutionnel que de la vente au détail, un moyen simple et abordable d’accéder indirectement au monde de la crypto. Dans la vidéo (35 minutes) ci-dessous, son fondateur rappelle de nombreux points autour de l’activité dont la guerre géopolitique autour du minage et le fait que cela donne un avantage à certains pays. Il montre que cette activité peut-être considérée comme un investissement immobilier. L’Europe est en retard, car le sujet est sensible de toute part… Pourtant, si on considère que le Web3 démarre avec tout ce que cela implique y compris avec le Bitcoin, il ne faut pas louper la porte.
Polygon (anciennement Matic Network) a réalisé une autre acquisition en achetant le protocole Mir pour 400 millions de dollars. Mir est une startup de mise à l’échelle Ethereum qui utilise la technologie Zero-Knowledgeproof (ZK-proof). Un ZK-proof est un outil cryptographique qui peut être utilisé pour créer des cumuls ZK. Les cumuls ZK permettent de traiter les transactions, mais ne nécessitent pas que toutes les données de transaction soient publiées sur Ethereum. Cela aide à réduire l’espace de bloc utilisé sur Ethereum, lui permettant de s’adapter et ainsi réduire les frais de gaz. L’accord fait suite à l’acquisition par Polygon d’Hermez Network pour 250 millions de dollars en août.
Aston Martin est synonyme de luxe dans l’industrie automobile. Fondée en 1913, la marque britannique emblématique a une longue histoire de conception et de fabrication artisanale des véhicules les plus recherchés au monde. Cette année, il a fait la une des journaux d’une nouvelle manière en annonçant son retour en F1 après 61 ans au sein de l’équipe Aston Martin Cognizant Formula One™. Pour marquer l’occasion, l’équipe a publié sa première collection NFT, “A New Era Begins”, exclusivement sur Crypto.com/NFT. Il comprend 5 objets de collection qui incarnent l’euphorie du sport automobile et les moments les plus marquants de l’équipe, y compris le dévoilement de la nouvelle voiture AMR21.
Visa a dévoilé les résultats d’une enquête menée auprès de plus de 6 000 décideurs financiers sur huit marchés. Les principaux résultats de l’enquête suggèrent que la sensibilisation à la cryptographie au sein de ce groupe est désormais de 94 %. Près d’une personne sur trois ayant une certaine connaissance de la cryptographie la possède ou l’utilise déjà, et 62 % de ce groupe ont déclaré que leur utilisation avait augmenté au cours de la dernière année. 40 % des usagers de crypto-monnaies seraient susceptibles de changer de banque principale pour un établissement proposant des services de crypto-monnaies.
Les trois principales Stablecoins sur les DEX représentent aujourd’hui environ 75 % du volume total des transactions, ce qui représente un risque potentiel pour tous les marchés décentralisés si l’un des trois se détachait ou s’effondrait. Tether et USDC sont émis par des entités centralisées qui font toutes deux l’objet d’un examen réglementaire rigoureux, notamment en ce qui concerne la composition de leurs réserves. DAI est un stablecoin algorithmique décentralisé, mais l’USDC représente une partie importante des garanties, ce qui rend le stablecoin également soumis aux risques de centralisation. Un effondrement potentiel du Stablecoin pourrait sérieusement nuire aux marchés décentralisés…
Le problème du stablecoin est la preuve qu’il est très difficile de construire un système financier complètement décentralisé sans les risques inhérents à la centralisation.
Décidément la plus grande source de perturbation dans le monde décentralisé, ce sont les mésententes des humains ! Dans la source, vous aurez accès à une la quantité d’informations négatives sur Sushiswap. L’article rappelle que la DeFi est énergivore. Le stress de travailler sous les yeux du public et de gérer des millions de dollars d’argent d’autres personnes fait rapidement des ravages. En plus de cela, la pression des médias sociaux est difficile à gérer, même pour les CTO. Sushiswap a essayé d’être transparent, mais ils ont choisi les mauvaises informations à publier. Il n’y a pas grand-chose à gagner à rendre les rémunérations des membres de l’équipe entièrement publiques, et il n’y a aucune excuse morale pour mentir sur la façon dont les fonds sont distribués.