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Vous vous rappelez que Apple et Google ont lancé une technologie de suivi de l’exposition au Covid-19 développée conjointement, conçue pour permettre aux autorités sanitaires de développer des applications de recherche de contacts. On rappel que l’outil ne collecte ni n’utilise les données de localisation des appareils et les utilisateurs sont tenus d’accepter toute application développée à l’aide de celui-ci : si une personne reçoit un diagnostic de Covid-19, il lui appartient de le signaler ou non dans l’application dédiée sur le sujet.
Une mise à jour récente permet l’interopérabilité entre les pays, tandis qu’une autre aide les autorités à mieux évaluer le niveau de risque d’exposition d’un utilisateur. Les contrôles utilisateur ont été simplifiés et une alerte a été ajoutée pour rappeler aux consommateurs que la technologie est utilisée.
Il a ajouté que 20 États et territoires américains représentant environ 45% de la population du pays développent également des applications basées sur la technologie, avec des débuts au cours des prochaines semaines. Plutôt que chaque État hébergeant son propre serveur pour stocker les données de traçage, Google a souligné un partenariat récent avec ces derniers, Apple, Microsoft et l’Association américaine des laboratoires de santé publique pour offrir un serveur national unique qui permettra le partage national des ensembles de données et des notifications.
StopCovid est une application de « contact tracing » qui s’inscrit dans le plan global de déconfinement du Gouvernement français dans le contexte de l’épidémie de Covid-19. Le projet a été pensé comme une brique d’une stratégie sanitaire plus globale.
Mais la France est toujours engluée dans son app StopCovid, aucune campagne de communication à la hauteur, un démarrage sans aucune fermeté sur son usage par la population et le comble, l’app fonctionne moins bien sur iOS car les équipes de développement n’ont pas réussi à surmonter l’API des deux géants. Moins de 2,5 millions de personnes ont téléchargé l’app en l’espace de deux mois. Une nouvelle campagne de communication est prévue à la rentrée pour inciter les possesseurs de smartphone à l’installer, notamment dans les grandes villes.
Et le plus grave c’est que nous sommes les seuls dans cette situation 🙂 Incroyable équipe numérique de France !