[Rapport] 18 milliards de téléchargements d’applications mobiles en 2011 et un marché de 3,7 milliards de dollars
18 milliards de téléchargements d'applications mobiles en 2011 et un marché de 3,7 milliards de dollars selon le dernier rapport du cabinet Ovum. La société pense aussi que les recettes provenant des applications mobiles sera au dessus 3,7 milliards de dollars en 2011, en hausse de 92%, passant de 1,95 milliards de dollars l'année dernière. Une prévision à 7,7 milliards de dollars en 2016.
Ovum pense aussi que plus d'applications seront téléchargées sur les téléphones Android – (8,1 milliards) que sur l'iPhone ( six milliards). Il estime également que le fossé continuera de se creuser au cours des années à venir, et que d'ici 2016 Android aura 21,8 milliards téléchargements d'applications annuelle contre 11,6 milliards pour l'iPhone.
Cependant, Apple va générer 2,86 milliards de dollars de recettes sur les apps payantes pour cette année, contre 1,5 milliards de dollars pour Android. La société prévoit également que Windows Phone va dépasser BlackBerry pour prendre la troisième place à la fois pour les téléchargements et les revenus d'ici 2016.
Ovum pense que la qualité sera un facteur clé sur le marché des applications dans les cinq prochaines années. "Il y a moins de tolérance pour les applications de second ordre et cela rend les consommateurs de plus en plus sélectifs et exigeants. Cela va affecter le nombre de téléchargements". Les consommateurs avertis sont moins disposés à payer une prime élevée pour autre chose qu'une Apps 'must have'. Le défi ici est de savoir ce qui est considéré comme« must have », car cela varie en fonction du segment de clientèle et de l'individu.
Ovum ne pense pas que la montée de l'HTML5 dans les Web Apps représente une menace sérieuse pour les magasins d'applications. «les App stores offrent un environnement familier pour les consommateurs pour découvrir, télécharger et acheter des applications, et nous prévoyons que la majorité des app stores listera un mélange des deux, HTML5 et les applications natives dans leurs catalogues à l'avenir»