La caméra connectée, les prises électriques connectées, les réfrigérateurs intelligents, la montre connectée, l’éclairage intelligent, les pompes à insuline : les objets connectés sont partout dans notre quotidien ! Saviez-vous, par exemple, que la chambre d’un patient contient 6 objets connectés en moyenne et qu’une salle de réanimation en contient une douzaine ?! L’Internet des objets (IoT) a révolutionné la façon dont nous interagissons avec notre environnement. On estime aujourd’hui à 20 milliards le nombre d’objets connectés dans le monde et un accroissement de plus de 20% chaque année. Cependant, jusqu’à aujourd’hui, la sécurité de l’IoT a été reléguée au second plan, laissant place à une vulnérabilité grandissante. Les objets connectés sont en effet devenus le terrain préféré des hackers.
De plus en plus de Français par exemple s’équipe pour la sécurité de leurs maison. sur le territoire français, on estime qu’il se produit un cambriolage toutes les deux minutes. Au final, et selon les données recueillies par l’Observatoire national de la délinquance, le budget moyen du préjudice matériel d’un cambriolage serait de 6 400 euros. Vous avez donc e choix de vous équiper seule ou de passer par un prestataire comme Verisure. Dans tous les cas il faudra avoir des objets connectées.
Les alarmes traditionnelles embarquent désormais des équipements « augmentés », leur permettant de travailler plus efficacement à la sécurité des particuliers et des professionnels, en balayant par exemple certaines zones plus sensibles. Ces équipements comprennent notamment l’alarme domotique (pratique pour surveiller la maison à distance, simuler une présence et être alerté sur son téléphone en cas de visite suspecte), la télésurveillance (permettant une intervention rapide d’un tiers de confiance en cas de problème) et la vidéosurveillance (permettant d’observer en direct ce qui se passe à l’intérieur de la maison en cas d’absence).
Une étude de Kaspersky montre les dangers de l’Internet des objets (IoT), avançant. Rien qu’en 2021, les cyberattaques visant ces équipements avaient doublé en un an. La plupart du temps, les escrocs utilisaient le protocole telnet pour tenter d’établir une connexion ( un protocole généralement utilisé pour accéder et gérer des appareils à distance ). Parfois, ils utilisent également SSH et Web.
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