Etude E-banking et services mobiles dans la banque de détail et la banque privée en Europe
L'étude E-Banking & Mobility services in Personal and Private Banking in Europe" passe en revue 24 offres e-Banking
L’étude « E-Banking & Mobility services in Personal and Private Banking in Europe » passe en revue 24 offres e-Banking qui ont été étudiées à travers 73 fonctionnalités concernant notamment la sécurité, la plateforme transactionnelle, la Mobilité & Digital. Les principaux enseignements montre qu’il y a une grande diversité dans ses services bancaires, certains ont beaucoup de retard. 3 types de banques ont été analysés, la Banque privée de type Edmond de Rothschild, les groupes Bancaire de type BNP Paribas et les groupes de Banque privée global dans le monde de type UBS.
Premier constat à la lecture les banques privées pures, elles ne sont pas pertinentes. Ils ne sont pas en mesure de fournir des plates-formes e-banking de pointe qui correspondent à l’attente des clients. En particulier, elles sont à la traîne en termes de fonctions de mobilité et cela va aggraver leur positionnement dans les services e-banking.
Autre constat pour la plupart des acteurs des plates-formes e-Banking elles ont été considérés comme un outil de marketing au départ, mais l’évolution récente a modelé ce canal efficace pour proposer une offre de marché spécifique, mais là encore avec beaucoup de disparité.
Nous pouvons distinguer divers stades de maturité dans les applications bancaires. La première étape fournit habituellement une application mobile pour accéder aux informations basiques d’une banque (adresse, plan, informations). La deuxième étape consiste à libérer une application e-banking avec des fonctionnalités limitées. La dernière étape consiste à offrir des applications d’e-banking qui fournissent un périmètre fonctionnel similaire à votre service e-banking sur PC/MAC. Peu de banques, ont déjà commencé cette troisième étape ! et encore moins la relation entre le e-banking et le m-banking, c’est-à-dire de véritable transaction à partir de son mobile.
Point de vue
L’étude fait remarquer qu’aucune banque n’a voulu communiquer sur son trafic et les usages !our avoir tester de nombreux services bancaires sur mobile au fil des années, certains sont à l’âge de pierre, bien visible dans l’étude. D’autre n’ont toujours pas compris que le mobile n’est pas un PC, et qu’il est dans la poche de leur client, ces derniers reçoivent des notifications de leur compte Facebook, mais pas de leurs transactions bancaires !! Il n’utilise les dernières technologies comme par exemple le TouchID sur Smartphone pour ouvrir son compte, ne parlons pas de UX/UI quasiment absent avec descouleurs austère…etc…
Heureusement certaines Banques ont massivement investit dans le mobile, mais il est difficile de savoir si c’est un succès, aucun chiffres sur les usages sont communiqué, sauf sur l’ouverture de compte comme pour Hello Bank, avec 13000 clients fin 2013 !