Publié le 14 octobre 2022, modifié le 15 octobre 2022.
Par La Rédaction

Dracula Technologies a créé le 1er produit photovoltaïque organique imprimé à jet d’encre

Publié le 14 octobre 2022, modifié le 15 octobre 2022.
Par La Rédaction

Dans le futur, il pourrait y avoir des milliards de capteurs tout autour de nous. Vous aurez besoin de beaucoup de piles qu'il faudra recharger en permanence. Et si vous pouviez les auto-alimenter en utilisant la lumière ambiante ?

D’ici à 2025, les experts estiment que le nombre d’appareils “Internet des objets”, y compris des capteurs qui collectent des données en temps réel sur l’infrastructure et l’environnement, pourrait atteindre 75 milliards dans le monde. Dans l’état actuel des choses, cependant, ces capteurs nécessitent des piles qui doivent être remplacées fréquemment, ce qui peut être problématique pour une surveillance à long terme. De nombreux chercheurs travaillent sur le sujet, dont ceux du MIT qui ont conçu des capteurs photovoltaïques qui pourraient potentiellement transmettre des données pendant des années avant de devoir être remplacés.

La quatrième révolution industrielle s’appuie sur des technologies numériques déjà largement répandues telles que les appareils connectés, l’intelligence artificielle, la robotique et l’impression 3D. On s’attend à ce qu’elle soit un facteur important de révolution de la société, de l’économie et de la culture. Ces petits appareils autonomes, interconnectés et souvent sans fil, jouent déjà un rôle clé dans notre vie quotidienne en contribuant à nous rendre plus économes en ressources et en énergie, organisés, sûrs, sécurisés et sains.

Il y a cependant un défi majeur : comment alimenter ces minuscules appareils. La réponse évidente est “piles”. Mais ce n’est pas si simple. La récupération d’énergie est la clé d’un avenir durable. Il existe plusieurs technologies pour utiliser l’énergie environnementale pour produire de l’électricité. Une entreprise a choisi le photovoltaïque organique, la solution optimale pour alimenter les objets connectés à faible consommation d’énergie.

Dans le monde des milliards de capteurs IoT prévu pour 2025, nous allons jeter plus de 100 millions de batteries chaque jour dans les décharges à moins que nous ne prolongions considérablement la durée de vie des batteries.

Dracula Technologies

Dracula Technologies, créée en 2011, conçoit des modules photovoltaïques organiques respectueux de l’environnement. Dans un monde où l’on comptera plus de 75 milliards d’objets connectés d’ici à 2025, l’entreprise valentinoise s’est fixé un objectif : alimenter les appareils connectés à faible consommation pour limiter l’utilisation des piles, extrêmement nocives pour l’environnement. Fins, flexibles, personnalisables et pouvant générer de l’énergie même dans des lieux sombres, ses modules peuvent ainsi être intégrés dans diverses applications : IoT, capteurs, trackers, télécommandes… et différents secteurs : santé, bâtiments et maisons connectés, cartes intelligentes, industrie ou encore traçabilité.

Leur stratégie d’innovation repose sur la création de valeur à travers la propriété intellectuelle. Ils ont déjà déposé plusieurs brevets pour protéger notre technologie et d’autres sont en cours de dépôt. Les atouts de leurs innovations après plus de 10 ans d’expérience, du laboratoire à l’étape industrielle : Layer convertit la lumière ambiante, naturelle ou artificielle, en électricité :

  • Utilise l’énergie qui vous entoure pour alimenter votre IoT. La technologie Layer génère de l’électricité à partir de 5 lux, qui est la lumière émise par le panneau de sortie de secours.
  • Le procédé industriel d’impression numérique permet de créer toutes les formes imaginables.
  • Pas de pile
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