Des tests rapides sont essentiels pour mesurer et arrêter la propagation du Covid-19, mais les tests actuels, tels que la PCR, prennent du temps et nécessitent un équipement de laboratoire coûteux, ce qui crée un goulot d’étranglement dans l’obtention des résultats. Les chercheurs ont développé des alternatives dont cette innovation qui peut fournir une mesure quantitative du niveau de particules virales. Dans l’échantillon. Le test produit un résultat en 30 petites minutes et ne nécessite pas d’équipement de laboratoire volumineux ou coûteux.
Initialement destinés à détecter le VIH dans des échantillons de sang, les chercheurs de Berkeley ont pivoté pour permettre à l’appareil de détecter le SRAS-CoV-2 dans des échantillons d’écouvillon nasal. Le test repose sur une technologie d’édition de gènes, l’appareil utilise un laser pour exciter cette fluorescence et une caméra de smartphone peut alors détecter la lumière, fournissant une mesure quantitative des particules virales présentes dans l’échantillon. Le test ne prend que 30 minutes sans avoir besoin de matériel de laboratoire sophistiqué !
La technologie pourrait fournir une alternative viable à la PCR pour les tests de routine du Covid-19.
Les téléphones portables étaient un choix attractif pour évaluer les exigences de lecture du test en raison de leurs capteurs de haute qualité (en l’occurrence, c’est un Pixel 4), intuitifs, de l’interface utilisateur et les puissantes capacités de calcul comme capacités de communication. Pour des raisons similaires, les efforts de diagnostic ont utilisé des téléphones mobiles pour détecter les signaux fluorescents de LAMP. La prochaine génération fera du séquençage d’ADN combiné avec un suivi efficace des contacts et un téléchargement conforme HIPAA dans des systèmes basés sur le cloud, un diagnostic mobile SARS-CoV-2 pourraient jouer un rôle important dans les pandémies actuelles et futures.
Le but final est d’avoir un appareil personnel, comme un téléphone portable, capable de détecter une gamme d’infections virales différentes et de déterminer rapidement si vous avez un rhume, le SRAS-Cov-2 ou la grippe. Cette possibilité existe maintenant et une collaboration plus poussée entre les ingénieurs, les biologistes et les cliniciens est nécessaire pour en faire une réalité.