L’éducation est un défi qui est un enjeu depuis toujours, mais souvent oublié de l’écosystème des opérateurs et constructeurs, le marketing est beaucoup plus orienté sur le rêve et l’accomplissement de soi-même… L’éducation concerne les usages des services, mais aussi du Smartphone lui-même. Par exemple en matière de prévention routière, le nombre d’accidents et de morts ne cessent d’augmenter ! La plupart des acteurs ont loupé l’éducation sur le sujet depuis 2007, mais peu sont prêt à le reconnaître !
Par exemple en ce moment, il y a une campagne Orange sur la manière d’utiliser votre téléphone de manière responsable en suivant un guide de bonne conduite. Effectivement en voiture, en deux-roues ou en tant que piéton, le téléphone peut perturber votre attention ou réduire votre champ visuel. Les outils qui sont mis à disposition ci-dessous devraient être mi en avant à l’école, lycée, Université, Entreprise…
L’un des outils de simulation est un service à utiliser sur votre mobile oran.ge/smsspeedmeter qui vous permettra de tester votre vitesse de rédaction !
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Ce qui est dommage c’est que cette campagne devrait être porté par tous les acteurs de l’industrie mobile ! Il est intéressant de noter que dans l’étude ci-dessous, les utilisateurs veulent qu’on les aide à trouver un équilibre dans l’usage de leur smartphone. En fait, 61 % des participants sont d’accord pour dire qu’ils veulent profiter au maximum de leur téléphone quand ils l’utilisent, et profiter au maximum du présent quand ils ne l’utilisent pas.
Motorola ci-dessous propose aussi des outils et une étude sur le sujet
Difficile de le nier, nos téléphones sont devenus de véritables extensions de nous-mêmes. Ils nous divertissent, nous connectent, nous informent, nous permettent d’explorer nos passions, de revivre nos souvenirs et de communiquer nos pensées les plus profondes au reste du monde. Nous aimons nos smartphones, mais à partir de quand cette relation prend-elle le pas sur celle qui nous lie aux êtres qui nous sont chers ? À partir de quand le temps passé sur nos smartphones devient-il plus important que celui passé avec nos parents, notre conjoint, nos enfants et nos amis ? Et comment savoir quand nous avons franchi une limite et que notre comportement devient problématique ?
Motorola a été le créateur du tout premier téléphone mobile.
Pour apporter un éclairage sur ces questions, une étude mondiale a été réalisée en partenariat avec le Dr Nancy Etcoff, experte renommée en « Mind-Brain Behavior and the Science of Happiness » à l’Université de Harvard, et psychologue au département de psychiatrie du Massachusetts General Hospital. L’étude, réalisée par Ipsos, examine les comportements et les habitudes des utilisateurs de téléphones issus de plusieurs générations et cherche à comprendre l’impact qu’ont les smartphones sur nos relations avec nous-mêmes, les autres et notre environnement physique et social.
« Chez la majorité des utilisateurs de smartphones, les comportements problématiques sont causés par des réactions spontanées et des mauvaises habitudes dont il est difficile de s’affranchir. » explique le Dr. Nancy Etcoff. « Des éléments comme des mesures incitatives ou « nudge », un contrôle de l’environnement, une prise de conscience, ainsi que des efforts de la part des acteurs de l’industrie du smartphone, contribueront tous à leur apporter l’aide dont ils ont besoin. La tendance sociale mise en lumière par cette étude internationale souligne la nécessité d’une compréhension collective de ces phénomènes et d’une action concertée. »
Principaux résultats
L’étude montre que les utilisateurs font parfois passer leur téléphone avant les personnes auxquelles ils tiennent. Les résultats les plus alarmants concernent les jeunes générations, qui ont grandi dans un monde numérique. Néanmoins, dans le même temps, ils reconnaissent la nécessité de trouver un équilibre et appellent à l’aide.
– Importance du téléphone : Un tiers (33 %) des répondants admettent parfois utiliser leur téléphone plutôt que de passer du temps avec les personnes importantes pour eux.
– Différences générationnelles : Les problèmes liés aux smartphones sont plus marqués chez les jeunes générations et plus de la moitié (53 %) des participants issus de la génération Z déclarent que leur téléphone est leur meilleur ami.
– Volonté de séparation : La majorité des participants (60 %) dit qu’il est important d’avoir une
vie séparée de leur téléphone.
Trois grands comportements problématiques liés aux smartphones ont été identifiés. Ils influencent nos relations avec les autres et nous-mêmes.
– Consultation compulsive : Pour moitié, les participants (49 %) sont d’accord pour dire qu’ils vérifient leur téléphone plus souvent qu’ils ne le souhaiteraient (près de 6 sur 10 dans les générations Y et Z) et ils admettent qu’ils ressentent le besoin constant de consulter leur smartphone (44 %).
– Usage excessif du téléphone : Un tiers (35 %) des participants sont d’accord pour dire qu’ils passent trop de temps sur leur smartphone (44 % pour la génération Z) et ils pensent qu’ils seraient plus heureux s’ils y passaient moins de temps (34 %).
– Surdépendance affective : Les deux tiers (65 %) des participants admettent qu’ils « paniquent » s’ils pensent avoir perdu leur smartphone (environ 3 sur 4 pour les générations Y et Z) et trois sur dix (29 %) sont d’accord pour dire que, lorsqu’ils n’utilisent pas leur téléphone, ils pensent à l’utiliser ou à prévoir leur prochaine utilisation.
Des Français moins dépendants
De manière générale, les Français apparaissent moins dépendants de leurs smartphones que l’ensemble de l’échantillon. Ils sont moins nombreux à l’utiliser alors même qu’ils pourraient passer du temps avec une personne qui leur est chère (18 % contre 33% sur l’ensemble de l’échantillon international), et moins nombreux à considérer qu’il serait leur meilleur ami s’ils devaient le définir comme une personne (21 % contre 37 %), même si là aussi la Génération Z est plus vulnérable (41 % contre 53 %). Ils sont également moins compulsifs dans la consultation de leur smartphone – ils sont moins nombreux à considérer qu’ils le consultent de façon excessive (39 % contre 49 %), se sentent moins contraints de le faire (33 % contre 44 %) et, quand ils ne l’utilisent pas, moins nombreux à anticiper la prochaine utilisation (16 % contre 29 %). En revanche, ils sont tout autant paniqués à l’idée de le perdre.
Les initiatives de Motorola
Le constructeur travaille avec des organismes tiers qui partagent leurs convictions et ils observent leur propre manière de ce comporter afin de proposer de nouvelles initiatives et de nouveaux programmes pour accompagner les utilisateurs vers un usage plus équilibré. Motorola travaille avec l’application SPACE, qui propose un programme de 60 jours destiné à aider les utilisateurs de smartphones à prendre conscience de leur rapport à leur téléphone. Il y a aussi un test en ligne composé de 10 questions simples, destinées à permettre de mieux comprendre la relation avec notre téléphone.
L’application s’appuie sur des fonctionnalités comme, par exemple, un assombrisseur d’écran et un bloqueur de notifications. Cette application est particulièrement pertinente pour ceux dont le comportement problématique est la « consultation compulsive », car elle leur permet de prendre conscience de leur manière d’utiliser leur téléphone et d’apprendre à retrouver un équilibre.
Grâce à notre défi Transformez le smartphone, les développeurs peuvent, via un partenariat avec Indiegogo, nous soumettre leurs idées de nouveaux Moto Mods qui pourront peut-être nous aider à utiliser notre téléphone de manière plus raisonnable ou à rassembler les utilisateurs autour d’expériences communes. Les expériences Moto permettent des interactions mobiles plus intuitives. Par exemple, Moto Display vous donne la possibilité de répondre à vos notifications simplement, sans prendre le risque de vous faire happer par votre téléphone. Notre écosystème innovant Moto Mods vous ouvre de nouvelles possibilités d’utilisation de votre téléphone en compagnie de ceux qui vous entourent. Nous concevons des appareils générateurs d’expériences communes.