Publié le 7 juillet 2015, modifié le 5 juillet 2021.
Par La Rédaction

Famoco, quand le NFC prend un chemin détourné !

Publié le 7 juillet 2015, modifié le 5 juillet 2021.
Par La Rédaction

Famoco vient de lever 4 millions d'Euros qui c'est spécialisé sur le marché du cashless dans les pays émergent

Le marché BtoB du NFC est surement plus rapide que celui du consommateur qui commence à peine à découvrir une CB sans contact pour payer son café 🙂 Famoco vient de faire une levée de fonds de 4 millions d’Euros en se spécialisant entre autres sur le marché du cashless dans les pays émergents notamment avec Google au Kenya, mais aussi sur le marché des badgeuses mobiles pour les salariés… – le terminal développé par Famoco est sécurisé et va minimiser la casse, vol, support et maintenance qu’une entreprise pourrait rencontrer en déployant un smartphone Android!! Il est équipé aussi d’une SAM (Secure Access Module) qui lui permet de lire par exemple le pass Navigo ! design fait en Belgique et construit en Chine 🙂 avec une belle équipe de Français…

Paiement sans contact, transport en commun, transfert de fichiers entre smartphones, la technologie de communication en champ proche, baptisée « NFC », est partout ou presque. En France, Famoco a conçu son propre lecteur NFC à destination des professionnels. Quatre ans après sa création, la société annonce cette levée de fonds  auprès de la société d’investissement en capital Hi Inov, le fonds ambition numérique de la Banque publique d’investissement et le fonds de capital-risque Aurinvest. Objectif : améliorer les produits de l’entreprise et augmenter les forces de vente.

Pour résumer le travail de son entreprise, le directeur, Lionel Baraban donne un exemple. « Vous voyez les fiches accrochées dans les toilettes des aéroports où il est marqué quand a eu lieu le dernier nettoyage ? On propose le même service, mais en version numérique. » En clair, l’agent d’entretien scanne un badge sur un terminal de Famoco, pour indiquer son passage.

Le dispositif peut aussi être utilisé comme borne de rechargement d’une carte de transport, appareil de paiement sans contact ou système de pointage dans une entreprise. « Quand une société veut mettre en place une solution NFC, elle a le choix entre un terminal de paiement électronique, pas très flexible, ou un smartphone qui coûte cher. Notre société, elle, propose un boîtier flexible, sécurisé et universel », avance Lionel Baraban. Équipé d’un système Android révisé pour être plus léger et plus sécurisé, le boîtier a déjà fait l’objet de 15.000 commandes pour un total de 1,5 million d’euros, une année après son lancement.

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